La crise n'est peut être pas seulement une crise mais plutôt une vraie maladie !
Attention aux conséquences de cette crise, les banques ont failli à leur devoir de prudence et leurs fonds propres ne sont pas suffisants actuellement pour compenser les difficultés que nous traversons économiquement, de plus quel est réèllement leur taux d'endettement, alors qu'elles exigent pour les particuliers à ne pas dépasser un taux d'endettement de 34% à peu près, elles ne se gênent pas elles pour fonctionner avec un seuil limite.
La banque DEXIA en est un exemple frappant, cette banque fonctionne avec un niveau de fonds propres très bas, comme toutes les banques qui profitent bien de nous, si vous voulez en savoir un peu plus sur " les banques ! " voyez cet article parlant, de "LA TRIBUNE " qui indique clairement que les banques françaises fonctionnent avec près de 90% de fonds inexistants, virtuels !!!
Nous sommes tous obligés de déposer notre argent dans les banques, elles nous en font grassement payer tous les services, elles nous le prêtent à des taux excessifs et avec un taux d'endettement à ne pas dépasser MAIS elles prennent des risques qu'elles ne pourront pas assumer car si nous retirons tous nos dividendes elles ne pourront pas faire face à tous ces retraits puisqu'elles ne disposent aujourd'hui que de moins de 7 % de fonds propres, ce qui est ni plus ni moins qu'une véritable escroquerie, une arnaque, inacceptables !
Il faut que ça change, d'autres banques voient le jour, les SCIC, plus respectueuses de leurs clients elles et pour cause !
La situation est extrêmement délicate voire dangereuse, l'Europe patine et nous entrîne avec elle, cet article du Monde explicite en est un bel exemple, la Grêce plombe l'Europe et l'Italie coule ! Les banques "empruntent" à la Banque Centrale Européenne et placent cet argent à la Banque Centrale Européenne ???
Qui marche sur la tête ?
L'Europe cherche à éviter une catastrophe bancaire
En attendant l'état d'urgence qui n'est pas exclu, des français ont déjà retiré une partie de leurs économies des banques, et j'en fais partie.